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Assurance-vie
Aucune surprise, votre fonds euro d’assurance-vie a perdu en attractivité au fil des années. La performance moyenne est aujourd’hui nettement inférieure à ce qu’elle était autrefois, et les perspectives ne laissent pas entrevoir de véritable rebond. Chaque début d’année voit fleurir les classements des « meilleures assurances-vie du marché ». Pourtant, il faut casser un peu l’ambiance : le – ou les – meilleurs contrats d’assurance-vie n’existent pas. Désolé de vous décevoir, mais s’il existait une assurance-vie objectivement meilleure que les autres, ne pensez-vous pas que tout le monde y souscrirait ? En revanche, il existe bel et bien une assurance-vie qui vous correspondra mieux que les autres. Alors, comment faire les bons choix ? Voici quelques conseils.
Les assurances-vie peuvent se classer dans 3 grandes catégories : les assurances-vie en ligne, les assurances-vie bancaires et les assurances-vie proposées par des conseillers en gestion de patrimoine.
Initialement, les assurances-vie en ligne s’adressaient à un public désireux de placer son épargne sur des supports à capital garanti (les fonds euros présentaient alors des performances supérieures à 3 % par an, net de frais de gestion du contrat) sans payer de frais d’entrée (0 % de frais sur versement) et ainsi s’affranchir d’un intermédiaire supplémentaire (banque ou conseiller en gestion de patrimoine). Ces assurances vies s’adressent donc à un public plutôt autonome dans ses choix d’investissement et à la recherche de solutions à moindre coût.
Nous en parlions en introduction, la donne change depuis quelques années. Les fonds euros voient, année après année, leurs performances diminuer. Pour continuer à rentabiliser leurs placements, les investisseurs n’ont plus le choix. Ils doivent arbitrer sur des supports en unité de compte (UC). Ces supports présentent un risque de perte en capital plus ou moins fort selon les fonds choisis. Comment s’y retrouver dans cette jungle ? Certains contrats proposent plus de 500 supports différents. Un casse-tête pour les non-initiés, et parfois même pour les plus initiés.
Pour pallier à cela, les plateformes en lignes proposent désormais des « gestions pilotées ».
L’avantage : on laisse le pilote (soit une intelligence artificielle, soit un comité d’expert) choisir ses supports, et on fait le point tous les ans pour savoir s’il y a vraiment un pilote dans l’avion, et surtout, si l’on a choisi le bon pilote !
L’inconvénient, c’est que l’on ne sait pas trop où son épargne atterrit, et, en cas de baisse des marchés, ces gestions pilotées ne sécurisent pas automatiquement votre capital en l’arbitrant sur des fonds euros. Par ailleurs, elles génèrent des frais de gestion supplémentaires, alors qu’au départ l’objectif était de passer par une plateforme en ligne pour payer moins de frais. 😊
C’est tout le contraire des assurances-vie du futur. Que vous soyez client « banque privée » ou non, vous serez toujours mieux loti ailleurs que chez votre banquier. Même s’il faut toujours entretenir de bonnes relations avec son banquier, le mieux c’est de lui confier le strict minimum pour conserver ces bonnes relations. Pour le reste, mieux vaut trouver d’autres alternatives. En effet, même les assurances-vie accessibles en banque privées cumulent tous les inconvénients : lourdeur des frais par rapport au service apporté, un choix de supports restreints, des fonds euros parmi les moins performants du marché, une gestion en ligne limitée … Fuyez !
Ce sont des assurances-vie proposées par des sociétés comme Weelim, enregistrées auprès de l’ORIAS. Weelimest enregistrée en tant que COA (Courtier d’Assurance ou de Réassurance). Ce qui signifie que l’entreprise Weelim dispose des compétences nécessaires pour être légalement habilitée à proposer des solutions d’assurance-vie ou contrats de capitalisation auprès d’investisseur (personne physique ou morale).
Là aussi, il vous faudra faire le tri. N’oubliez pas que, quel que soit l’intermédiaire par lequel vous souscrivez un contrat d’assurance-vie (plateforme en ligne, banque ou conseiller en gestion de patrimoine) il est rémunéré par l’assureur qui lui reverse une quote-part des frais de gestion du contrat. Assurez-vous donc de bien comprendre pourquoi tel ou tel interlocuteur, vous propose tel ou tel contrat afin d’éviter des conseils qui peuvent parfois être orientés.
Ces frais sont prélevés par l’assureur au moment de votre investissement. Ils sont prélevés sur le capital investi et sont reversé pour partie au distributeur. Les plateformes en lignes proposent des contrats à 0 % de frais d’entrée. Les contrats d’assurance-vie référencés par Weelimpeuvent, sous certaines conditions, ne pas présenter de frais d’entrée. Votre conseillé pourra répondre à vos questions sur le sujet.
Ils sont généralement prélevés trimestriellement et sont exprimés en % des encours investis. Attention, sur les fonds euros, la performance annoncée par les assureurs est exprimée nette de frais de gestion, alors que pour les unités de compte, elles sont exprimées avant prélèvements des frais de gestion. Ils sont généralement compris en 0,5 % et 1,20 % pour les contrats les plus lourds en frais. Chez Weelim, tous nos contrats d’assurance-vie présentent des frais de gestion inférieurs à 1%.
C’est là que le travail se corse. Comment trouver un contrat d’assurance-vie qui vous permettra d’investir sur des fonds performants et gérés par des gérants qui surperforment les indices ? Chez Weelim nous vous conseillons d’ouvrir plusieurs contrats d’assurance-vie afin de pouvoir diversifier et piloter plus facilement les stratégies d’investissement. Notamment, d’ouvrir un contrat d’assurance-vie « immobilier » afin sélectionner les meilleurs supports dans ce domaine.
Les fonds euros à capital garanti cherchent à se réinventer. Les fonds euros tels qu’on les connaît aujourd’hui sont en voie d’extinction. Néanmoins, c’est aujourd’hui le seul support éligible à l’assurance-vie qui offre une disponibilité totale des fonds à tout moment, ainsi qu’un garantie en capital à effet cliqué (c’est-à-dire que tous les gains réalisés sur le fonds en euros y sont réinvestis et ils ne peuvent pas être perdu). Ils figurent donc indéniablement parmi la liste des supports à analyser.
Certaines options sont gratuites, d’autres se feront en contrepartie d’une hausse des frais de gestion. Ils existent deux grandes familles d’option de gestion : les options d’arbitrage automatique, et les options de gestion d’actif.
Souscrire un contrat d’assurance-vie ne se résume pas à comparer quelques performances. En réalité, tout contrat repose sur une mécanique précise que vous devez comprendre pour faire les bons choix. Cela commence par la structure des versements. Ils peuvent être libres ou programmés, ponctuels ou réguliers. La fréquence et le montant de ces versements (souvent mensuels ou trimestriels) auront un impact direct sur la valorisation de votre contrat sur la durée. Notez que certains contrats vous permettent de moduler jusqu’à cinq versements par an sans surcoût, un levier intéressant si votre situation évolue.
Ensuite vient la notion de rachat. Il ne faut pas confondre le rachat avec une clôture du contrat. Le rachat total signifie que vous récupérez l’intégralité de votre épargne, mettant fin au contrat. Le rachat partiel, lui, consiste à retirer une partie de vos avoirs tout en laissant le contrat actif. Vous pouvez procéder jusqu’à cinq rachats sans remettre en cause les avantages fiscaux si vous respectez les conditions. Cela vous permet de récupérer vos gains ou une partie de vos intérêts sans renoncer totalement au placement.
La fiscalité liée à un contrat d’assurance-vie est un autre élément déterminant. Elle dépend de la durée de détention, du type de rachat et du régime fiscal choisi (prélèvement forfaitaire unique ou barème progressif). Après huit ans, vous bénéficiez d’un abattement fiscal annuel important sur les gains retirés. Toutefois, attention : même si la fiscalité devient avantageuse au fil des années, elle doit être comparée à d’autres variables comme les frais ou la qualité des supports en unité de compte.
Car justement, les unités de compte ne doivent jamais être choisies au hasard. Elles offrent une meilleure espérance de rendement, mais intègrent aussi un risque plus élevé de perte en capital. Pour équilibrer ce risque, il est recommandé de répartir vos versements sur plusieurs unités différentes. Vous limitez ainsi votre exposition à un seul secteur ou une seule zone géographique. Et n’oubliez pas que la volatilité des unités peut avoir un impact non négligeable sur vos gains à court terme.
Enfin, pensez à la clause bénéficiaire. En cas de décès, ce sont les personnes que vous aurez désignées qui recevront le capital. Cette transmission est généralement encadrée par une fiscalité allégée. Toutefois, les conditions fiscales varient en fonction du moment des versements, de l’âge au moment du versement et du lien entre le souscripteur et les bénéficiaires. Un décès avant 70 ans ou après n’aura pas les mêmes conséquences. Il est donc conseillé d’anticiper ce scénario dès l’ouverture du contrat. Le bon paramétrage de cette clause peut faire une réelle différence pour vos proches en cas de décès prématuré.
En résumé, un contrat d’assurance-vie ne se limite pas à un simple placement. C’est une enveloppe fiscale et financière dans laquelle vous devez articuler versements, unités, rachats et anticipations liées au décès. En choisissant une stratégie cohérente avec votre horizon de placement et votre sensibilité au risque, vous pouvez optimiser vos intérêts tout en assurant une protection efficace. Chez Weelim, nous vous aidons à bâtir un contrat sur mesure, adapté à chaque étape de votre vie.
Pour savoir quelle assurance-vie vous correspond le mieux, il vous faut donc définir vos besoins en répondant à plusieurs questions :
Moins de 5 ans, plus de 5 ans, plus de 8 ans etc. Si vous répondez 8 ans et +, alors les supports immobiliers sont une excellente alternative aux fonds en euros. Consultez la liste des supports et comparez leurs performances.
Je souhaite gérer seul (gestion libre) ou accompagné par un professionnel de la gestion de patrimoine (gestion libre conseillée ou assistée) ou encore je souhaite confier totalement la gestion et ne pas m’en préoccuper (gestion sous mandat ou gestion pilotée pour les plus petits contrats d’assurance-vie). Quelles sont les options automatiques qui m’intéressent ? etc.
Zéro risque, prudent, équilibré, ou encore dynamique. Si vous répondez prudent, équilibré ou dynamique, alors vous devriez sérieusement vous intéresser aux supports immobiliers éligibles à l’assurance-vie.
Si vous acceptez de payer un peu plus de frais de gestion pour bénéficier d’un suivi personnalisé et expérimenté, alors vous trouverez votre bonheur auprès d’un de nos conseillers. Prenez rendez-vous pour en discuter.
Une fois votre contrat d’assurance-vie ouvert, chaque décision prise aura des répercussions sur la valorisation de votre épargne et la manière dont l’argent évolue dans le temps. Le premier élément à considérer reste le versement initial. Un bon positionnement de ce versement, dès le départ, permet de bénéficier d’un taux d’intérêt plus favorable sur certains supports, notamment si vous privilégiez une allocation équilibrée entre fonds euros et unités de compte comme les actions.
Mais ce n’est pas tout. Les versements programmés ont eux aussi un impact. En les répartissant régulièrement sur l’année, vous lissez les variations de marché et profitez potentiellement de meilleurs points d’entrée sur les supports dynamiques. Cela peut jouer positivement sur votre rendement global. L’argent versé chaque mois, même en faible montant, contribue activement à la performance du contrat.
Le rôle de l’assureur est central dans cette mécanique. C’est lui qui fixe les taux de rémunération sur le fonds en euros, mais également les conditions d’accès à certains supports. Chaque assureur applique une politique de rendement propre, qui peut varier d’une année à l’autre selon les marchés financiers ou la stratégie de placement retenue. Ces écarts entre assureurs peuvent faire varier fortement les résultats à long terme. Il est donc crucial d’observer les taux servis sur plusieurs années pour évaluer la régularité de la performance.
Enfin, n’oubliez jamais que l’assurance-vie est avant tout un outil de transmission. En cas de décès, ce sont les bénéficiaires qui recevront l’épargne accumulée. Vous pouvez désigner plusieurs bénéficiaires et répartir les capitaux comme vous le souhaitez. Cette clause bénéficiaire doit être rédigée avec soin : une erreur d’interprétation peut entraîner des délais ou des contestations au moment du versement. Chaque bénéficiaire dispose de droits précis, et l’assureur doit appliquer les volontés exprimées dans le contrat. Plus la formulation est claire, plus vos proches seront protégés.
En conclusion, que ce soit au moment du versement, dans la sélection des actions, dans le suivi des taux de rendement ou dans la rédaction de la clause bénéficiaire, vos choix structurent le potentiel de votre assurance-vie. Nous vous accompagnons à chaque étape pour que votre argent travaille efficacement, tout en sécurisant les intérêts de vos bénéficiaires sur le long terme.
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Choisir la meilleure assurance-vie : la bonne méthode.
Une assurance-vie est un placement où le souscripteur verse un capital et, s’il le souhaite, des primes régulières sous forme de versements libres ou programmés. Ce placement prend la forme d’un contrat établi auprès d’une compagnie d’assurance afin de couvrir un aléa, celui du décès de l’assuré qui est généralement le souscripteur (mais qui peut-être une tierce personne). Les sommes investies sont ensuite ventillées sur différents supports comme le fonds en euros ou des unités de compte (Opcvm, SCPI, SCI, OPCI, produits structurés, ETF, titres vifs, etc.). L’objectif est de faire fructifier le capital investi à moyen long terme.
Le placement en assurance-vie présente de nombreux avantages. Tout d’abord, il offre généralement un large choix de supports (fonds actions, fonds obligataires, produits structurés, fonds euros, trackers, fonds immobiliers, fonds de private equity etc.) permettant d’adapter sa stratégie d’investissement, en fonction de son profil d’investisseur et son appétence au risque. Ensuite, l’enveloppe assurance-vie offre des avantages fiscaux non négligeables en cas de décès du souscripteur assuré, ou en cas de retrait en cours de vie du contrat. C’est, pour toutes ces raisons, un des placements préférés des français.
Le fonctionnement de l’assurance-vie repose sur un contrat entre un souscripteur et une compagnie d’assurance. Lorsqu’un contrat d’assurance-vie est souscrit, le souscripteur verse un capital et, s’il le souhaite, des primes régulières sous forme de versements libres ou programmés. Une fois les sommes versées, le souscripteur a le choix entre différents modes de gestion : gestion libre, gestion pilotée, gestion sous mandat ou gestion conseillée par exemple. En gestion libre, il pourra choisir librement parmi un large choix de supports (opvvm produits structurés, fonds euros, trackers, SCPI, fonds de private equity etc.) permettant d’adapter sa stratégie d’investissement en fonction de ses convictions et de ses objectifs.
Dans une assurance-vie, les sommes investies sont, sauf rares exceptons, disponibles à tout moment et sans frais. Cependant, les conditions financières peuvent varier en fonction notamment de la typologie des supports dans lesquels vous êtes investis (certaines unités de compte peuvent prévoir des pénalités en cas de retrait anticipé). De plus, les conséquences fiscales peuvent être importante, en fonction de la date de retrait par rapport à la date d’ouverture du contrat. Une étude au cas par cas est obligatoire pour évaluer l’intérêt ou non d”effectuer un tel retrait.
En France, tous les gains générés au sein d’un contrat d’assurance-vie sont soumis à fiscalité : impôt sur le revenu et prélèvements sociaux. Néanmoins, il ne sont pas imposables, tant qu’ils ne sont pas retirés du contrat. Seul les prélèvements sociaux sont prélevés tous les ans sur les intérêts versés par le fond en euros. La fiscalité applicable en cas de retrait va être fonction de la date de versement des fonds, ainsi que de la date d’ouverture du contrat par rapport à la date du retrait. Par exemple, si le contrat a plus de 8 ans et que les primes ont été versées avant le 27 septembre 2017, alors les gains peuvent être exonérés d’impôt sur le revenu jusqu’à 4 600 € pour un célibataire . Au-delà de cet abattement, les gains sont soumis à un prélèvement forfaitaire libératoire (PFL) de 7,5% sur option ou à l’imposition au barème progressif de l’impôt sur le revenu.