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Private Equity
Le Private Equity, également appelé capital-investissement, est depuis plusieurs années l’une des classes d’actifs les plus recherchées par les investisseurs. Ce mode d’investissement direct ou à travers des fonds d’investissement consiste à prendre des participations dans des entreprises non cotées en bourse ou des projets (type infrastructure ou via un financement en dette privée), offrant ainsi des opportunités de création de valeur et de diversification patrimoniale.
Chez Weelim, nous œuvrons pour que nos investisseurs comprennent où vont leurs capitaux. C’est pourquoi, vous trouverez dans ces quelques lignes tout ce qu’il faut savoir pour bien comprendre l’investissement en private equity.
Les chiffres du marché français illustrent parfaitement la croissance continue du Private Equity. Chaque année, plusieurs dizaines de milliards d’euros sont levés pour financer des milliers d’entreprises, renforçant ainsi l’économie réelle. Cette dynamique illustre le rôle structurant du capital-investissement dans le soutien à l’innovation, à la compétitivité des PME et à la création d’emplois.
Cette croissance soutenue attire désormais une clientèle diversifiée : investisseurs institutionnels, family offices, mais également particuliers fortunés qui découvrent les avantages du capital-investissement à travers différents véhicules comme les fonds communs de placement à risques (FCPR), les FCPI, les SCR ou encore les sociétés de libre partenariat (SLP).
Et depuis peu, certains fonds de private equity sont même accessibles dès 1000 €. La démocratisation est en marche.
Comprendre le fonctionnement du Private Equity est un préalable essentiel à toute décision d’investissement. Ce processus s’articule autour de 6 étapes fondamentales qui définissent le cycle complet d’investissement :
➤ 1. La phase de levée de fonds : Les sociétés de gestion, véritables orchestrateurs de cette industrie, collectent des capitaux auprès d’investisseurs qualifiés. Cette étape détermine la taille du fonds et sa capacité d’investissement future.
➤ 2. La sélection rigoureuse des cibles: Fort de leur expertise sectorielle, les gérants analysent minutieusement le marché pour identifier les entreprises présentant le meilleur potentiel de croissance et de création de valeur. Dans le cas des fonds de fonds, les gérants sélectionnent les fonds de private equity institutionnels les plus renommés dans leur domaine, avec un track record sérieux.
➤ 3. Une fois les cibles sélectionnées, le fonds prend une participation significative au capital, généralement majoritaire, permettant d’influencer la stratégie de l’entreprise.
➤ 4. L’accompagnement opérationnel, cette phase différencie fondamentalement le Private Equity des autres investissements. Les gérants travaillent étroitement avec les dirigeants pour optimiser les performances, développer de nouveaux marchés et améliorer l’efficacité opérationnelle.
➤ 5. La stratégie de sortie planifiée Après une période d’accompagnement de 5 à 10 ans, les gérants organisent la cession de leur participation via différents canaux : vente industrielle, introduction en bourse, ou transmission à un autre fonds.
➤ 6. La redistribution des plus-values, les gains réalisés sont redistribués aux investisseurs selon les modalités définies contractuellement, après déduction des frais de gestion et du carried interest des gérants.
Pour en savoir plus : qu’est ce que le private equity ?
Le private equity s’adresse aux investisseurs qui souhaitent diversifier leur patrimoine en participant directement au financement d’entreprises non cotées, innovantes ou en croissance. Cette classe d’actifs permet d’accompagner des sociétés dans leurs différentes phases de développement : création, expansion ou transmission.
À qui s’adresse le private equity ? Il est principalement destiné aux épargnants disposant d’un capital déjà constitué, qui recherchent du rendement sur le long terme et sont capables d’accepter une part d’illiquidité. Ce type d’investissement convient notamment :
Grâce à la digitalisation du secteur, le private equity devient aujourd’hui plus accessible, avec des tickets d’entrée réduits et des fonds gérés par des sociétés de gestion reconnues. Il reste un placement à envisager dans une stratégie patrimoniale globale, en complément d’actifs liquides comme l’assurance-vie ou les SCPI.
Le capital-risque (Venture Capital) représente le segment le plus innovant du Private Equity. Cette stratégie consiste à financer des startups technologiques en phase de démarrage, souvent sans chiffre d’affaires mais dotées d’un fort potentiel de croissance.
Le Growth Equity (ou capital développement) s’adresse aux entreprises déjà rentables souhaitant franchir une nouvelle étape de développement.
Ces fonds acquièrent des entreprises matures, souvent par le biais de LBO (Leverage Buyout). Ils restructurent et optimisent les entreprises pour générer des rendements supérieurs. Cela peut impliquer des modifications de la direction, des réductions de coûts et des améliorations opérationnelles.
Cette stratégie hautement spécialisée consiste à investir dans des entreprises traversant des difficultés temporaires mais disposant d’actifs de qualité et d’un potentiel redressement.
Les infrastructures représentent un segment en forte évolution du Private Equity, focalisé sur les actifs tangibles générant des revenus récurrents à long terme. Secteurs d’intervention : Énergies renouvelables, réseaux de télécommunications, infrastructures de transport, équipements médicaux
Les performances du private equity distancent régulièrement celles des marchés cotés. Selon les analyses de référence menées par France Invest et Preqin, les fonds de capital-investissement bien gérés affichent des taux de rendement interne (TRI) annuels moyens oscillant entre 12% et 15%.
Cette performance s’explique par plusieurs facteurs : l’accompagnement actif des entreprises, l’optimisation des structures financières, l’effet de levier maîtrisé et la sélectivité dans le choix des investissements. Dans les segments les plus performants comme le capital-risque technologique ou les LBO bien structurés, certains fonds dépassent les 20% de rendement annuel.
L’un des atouts majeurs du Private Equity réside dans sa faible corrélation avec la volatilité des marchés boursiers traditionnels. Cela s’explique par le fait que les entreprises non cotées, n’étant pas cotées en bourse, elles ne subissent pas les mouvements quotidiens (fluctuations) des marchés boursiers
Cette décorrélation offre une protection naturelle contre la volatilité des marchés financiers et permet de construire des portefeuilles plus résilients. En période de turbulences boursières, le Private Equity peut ainsi jouer un rôle stabilisateur dans une allocation diversifiée.
Le cadre fiscal français réserve des avantages aux investisseurs en Private Equity. Les véhicules spécialisés comme les FCPI et certains FCPR fiscaux offrent des réductions d’impôt sur le revenu pouvant atteindre 25% du montant investi, dans certaines limites.
Par ailleurs, le dispositif fiscal 150-0 B ter permet aux dirigeants d’entreprise de reporter l’imposition des plus-values de cession lorsqu’ils réinvestissent dans des fonds de capital-investissement. Cette mesure incitative favorise le recyclage des capitaux vers l’économie productive.
Investir en Private Equity, c’est contribuer directement au financement de l’économie réelle. Les fonds soutiennent concrètement l’innovation technologique, facilitent la croissance des PME françaises, financent la transition écologique et accompagnent les transmissions d’entreprises familiales.
Les tendances qui transforment le Private Equity
L’intégration des critères ESG (Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance) transforme profondément les pratiques d’investissement. Les fonds intègrent désormais systématiquement ces paramètres dans leur processus de sélection et d’accompagnement.
Les plateformes digitales révolutionnent l’accès au Private Equity, permettant aux particuliers d’investir dès 5 000 euros via des solutions technologiques innovantes.
Les gérants privilégient de plus en plus les investissements locaux, contribuant au renforcement du tissu économique européen et à la souveraineté industrielle.
Intelligence artificielle, blockchain et automatisation révolutionnent les processus d’analyse, de suivi et de reporting des fonds.
Comprendre les risques inhérents
Stratégies de réduction des risques
Le Private Equity, ou capital-investissement, est désormais accessible au grand public via des véhicules collectifs réglementés. L’entrée en vigueur de la loi PACTE en 2019 a marqué un tournant décisif, en facilitant l’accès au Private Equity. Qu’il s’agisse d’une Assurance Vie, d’un Plan d’Épargne Retraite (PER), d’un Plan d’Épargne en Actions (PEA) , de fonds collectifs spécialisés (FCPR, FCPI, FPCI), ou encore de club deals privés, les solutions se multiplient pour permettre aux investisseurs de toutes tailles de participer au développement d’entreprises tout en recherchant la performance.
Investir au nominatif pur signifie que l’investisseur détient directement les actions de l’entreprise, inscrites dans les registres de celle-ci. Cette méthode offre une relation directe avec l’entreprise, permettant une participation active aux assemblées générales et un accès privilégié à l’information.
Plutôt que d’entrer directement au capital d’une entreprise non cotée, les investisseurs particuliers accèdent au Private Equity par le biais de fonds spécialisés gérés par des professionnels. Ces fonds sélectionnent et accompagnent des sociétés en forte croissance, à différentes étapes de leur vie.
L’assurance-vie est un produit d’épargne qui permet également d’investir en private equity. Certaines assurances-vie offrent des unités de compte investies dans des fonds de private equity. Cette option permet de bénéficier d’avantages fiscaux tout en diversifiant son portefeuille avec des investissements en entreprises non cotées.
Le Plan d’Épargne en Actions (PEA) est un autre moyen d’investir en private equity. Bien que principalement destiné aux actions de sociétés cotées en bourse, certaines conditions permettent d’inclure des titres de PME non cotées. Le PEA offre des avantages fiscaux intéressants, notamment après cinq ans de détention.
Les General Partners (GP) occupent une position centrale dans l’écosystème du capital-investissement. Leur rôle dépasse largement la simple gestion de portefeuille pour englober une véritable mission d’accompagnement stratégique.
Missions principales des sociétés de gestion :
Quelques acteurs sur le marché français et européen :
L’univers des Limited Partners (LP) s’est considérablement élargi ces dernières années, témoignant de l’attrait croissant pour cette classe d’actifs.
Investisseurs institutionnels traditionnels :
Nouveaux entrants :
L’avocat spécialisé en private equity joue un rôle clé dans la sécurisation et la structuration juridique des opérations.
Il intervient à chaque étape :
Son expertise permet d’assurer la conformité réglementaire, la protection des investisseurs et la sécurisation des intérêts des dirigeants.
Au cœur des équipes d’investissement, l’analyste financier constitue le premier maillon opérationnel du processus d’investissement.
Ses principales missions :
Il permet aux équipes d’investissement de mesurer précisément le risque et d’identifier les leviers de valeur avant toute prise de participation.
Le Private Equity s’appuie sur une diversité d’expertises : gérants, investisseurs, analystes, avocats. Pour explorer plus en détail ces fonctions clés, découvrez les métiers du Private Equity.
Pour vous aider à mieux comprendre le fonctionnement des fonds de private equity, nous avons préparé pour vous un guide complet sur le private equity.
Dans ce guide vous trouverez des informations sur :
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Le Private Equity
Le private equity est un mode d’investissement dans des entreprises non-côtées en bourse ou au sein de projets immobiliers à forte valeur ajoutée (on parle de stratégie immobilière value-Add dans ce second cas). Pour les investisseurs privés, l’investissement en private equity se fait généralement à travers des fonds d’investissement spécialisés. Ces fonds vont prendre des participations directement dans des entreprises (en participant à des levées de fonds par exemple) ou dans des projets immobilier. Le private equity peut être utilisé pour financer des projets de recherche & développement, soutenir la croissance d’une entreprise, réaliser une ou plusieurs opérations de marchand de biens, participer à une opération de LBO ou encore pour aider une entreprise à se restructurer. Les investisseurs en private equity recherchent généralement des rendements élevés sur leurs investissements à long terme.
Un fonds de private equity commence par collecter des fonds auprès d’investisseurs institutionnels et/ou des particuliers. Ensuite, il recherche des opportunités d’investissement dans des entreprises privées avec un fort potentiel de croissance ou des opportunités de restructuration. Une fois qu’une entreprise est sélectionnée, le fonds investit des capitaux en échange d’une participation dans son capital. Il travaille ensuite en étroite collaboration avec l’entreprise pour améliorer sa performance opérationnelle et financière. Enfin, lorsque l’entreprise atteint un niveau de développement souhaité, le fonds cherche à réaliser un rendement en cédant sa participation par le biais d’une vente, d’une introduction en bourse ou d’une fusion. Les investissements en private equity ont généralement une durée de détention de plusieurs années.
Investir dans un fonds de private equity présente des avantages. Tout d’abord, les rendements potentiels annoncés par les sociétés de gestion sont potentiellement élevés. L’objectif pour l’investisseur étant de rémunérer le risque qu’il prend. Par ailleurs, notons que pour certains fonds de private equity, les souscripteurs peuvent béénficier d’une exonération totale d’impôt sur la plus-value après 5 années de détention. Cependant, cela comporte également des inconvénients tels qu’une liquidité limitée, un risque de perte en capital et un verrouillage des fonds pendant la durée du fonds (généralement pendant 6 à 10 ans selon les véhicules. Il est essentiel de comprendre ces aspects spécifiques à chaque fonds et de faire des recherches approfondies avant de prendre une décision d’investissement, en consultant un conseiller financier si nécessaire.
Pour investir dans un fonds de private equity, vous devez suivre quelques étapes clés. Tout d’abord, déterminez vos objectifs d’investissement et votre tolérance au risque. Ensuite, recherchez des fonds de private equity réputés et effectuez une étude approfondie sur leur historique de performance et leur équipe de gestion. Chez Weelim, nous faisons une veille permanente sur le marché des fonds de private equity pour vous sourcer les meilleures opportunités du moment. Vous pouvez demander à un de nos conseiller de vous accompagner, sans frais supplémentaires.
Les investissements en private equity comportent des risques. La liquidité est généralement restreinte, et rend la vente ou le retrait rapide des fonds difficiles. Ensuite, les entreprises investies peuvent échouer, entraînant le cas échéant une perte totale ou partielle en capital. Les fonds peuvent être également bloqués pendant une période prolongée. Les rendements dépendent des gestionnaires et des décisions prises, on parle donc de performance potentiellement élevées, mais sans garantie de succès. En effet, les conditions économiques et de marché peuvent affecter la performance des investissements. Il est crucial d’évaluer attentivement ces risques avant d’investir en private equity.