Frédéric Stolar, DG d’Altaroc nous explique comment investir dans les meilleurs fonds de private equity avec le FPCI Altaroc 2023

Frédéric Stolar, DG d’Altaroc nous explique comment investir dans les meilleurs fonds de private equity avec le FPCI Altaroc 2023

Ugo Philippe
Investir dans les meilleurs fonds de Private Equity avec Altaroc

A fin 2021, le Private Equity affiche des performances robustes sur le long terme (chiffres France Invest et EY). Sur 15 ans, les performances annuelles moyennes sont de 12,2 % et sur 10 ans, elles atteignent 14,5 %. Ces chiffres démontrent que le capital-investissement sur longue période est très performant, à condition d’en accepter les risques. Les statistiques à 15 ans montrent également à quel point le Private Equity a bien résisté aux dernières crises. Dans cette interview, Frédéric Stolar nous rappelle aussi que c’est pendant ces périodes de crises que les performances moyennes du Private Equity ont été les meilleures. Attention néanmoins, les performances passées ne présagent pas des performances futures. Investir en Private Equity comporte des risques de pertes en capital. Les données utilisées par France Invest et EY pour cette analyse des performances du Private Equity sont largement représentatives du marché français : elles couvrent plus de 700 véhicules gérés par 125 sociétés de gestion. Au-delà de la croissance du marché et du nombre d’acteurs, il s’explique également par la pérennité des acteurs qui ont fait preuve de bonnes performances répétées auprès de leurs clients investisseurs, dont les encours et le nombre de fonds gérés augmentent.

Dans cette interview, Jérémy Orféo CEO et fondateur de Weelim aborde avec Frédéric Stolar différents sujets : Quels sont les différents segments dans le secteur du Private Equity ? Et quels sont ceux qui affichent les meilleures performances. Pourquoi les meilleurs fonds mondiaux étaient jusqu’à présent réservés aux institutionnels ? Et comment Altaroc change la donne ? Pourquoi investir dans un contexte macro compliqué comme actuellement, c’est un bon market timing (selon l’analyse des performances passées) ? Qu’est qui différencie Altaroc des autres acteurs du marché ? Pourquoi miser sur le Millésime FPCI Altaroc 2023 ?

 

 

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Retranscription de l’interview

Est-ce que tu peux en introduction nous présenter ce qu’est le Private Equity ? Parce que pour beaucoup d’investisseur ça reste encore abstrait.

Frédéric Stolar : Alors je vais essayer de faire simple pour le non expert. Le Private Equity consiste à investir au capital de sociétés non-cotées. Alors ça peut revêtir plein de formes distinctes dont je vais parler mais parfois les gens font du Private Equity sans le savoir. Ils investissent au capital de la société d’un ami, la société n’est pas cotée, ça s’appelle indirectement du Private Equity. Maintenant pour être plus pragmatique ce qu’on appelle communément le Private Equity, ce n’est pas l’investissement que chacun fait de son côté dans des sociétés non cotées, c’est le fait de confier à des fonds professionnels, à des gérants professionnels une somme d’argent qui va être investie dans un fonds d’investissement et gérée par une société de gestion qui a la main de façon discrétionnaire pour allouer une masse de capitaux dans des sociétés non-côtées soit directement soit par l’intermédiaire de fonds réservés au départ à des institutionnels. Il y a quatre façons d’investir dans ces fonds privés et je pense que ça vaut la peine de l’illustrer. La première façon c’est d’investir de façon minoritaire dans des sociétés prometteuses mais qui n’ont pas encore de chiffre d’affaires c’est ce qu’on appelle le « venture capital ». Ca consiste à accompagner hommes ou femmes entrepreneurs et d’accompagner le financement de son projet ou de sa technologie avec comme ambition d’accompagner le succès d’un business plan à venir. Le taux de casse de ces fonds est extrêmement élevé mais tu as une très belle réussite potentielle, tu peux faire 10 ou 15 fois ta mise. Après, lorsque les sociétés ont atteint une certaine maturité au niveau du déploiement technologique ou de leurs parts de marché, qu’elles ont 10, 30 ou 40 millions d’euros de chiffre d’affaires, quelles sont en plus forte croissance, elles sont sur une nouvelle phase de leur vie et c’est ce qu’on appelle la phase de Growth. Le Growth Equity, le capital croissance en français, c’est l’accompagnement là aussi en tant que minoritaire la plupart du temps par des fonds d’entrepreneurs hommes ou femmes lorsque les sociétés ont démontré la maturité technologique. On est souvent sur des entreprises disruptives qui essayent de prendre des parts de marché aux acteurs établis. Le risque ici n’est plus technologique, c’est le risque d’exécution, à savoir est-ce que l’entrepreneur ou l’entrepreneuse est capable de faire croître son chiffre d’affaires, est capable de recruter les bonnes personnes d’ouvrir, la bonne usine, d’aller trouver les bonnes Supply Chain… Tu as ensuite le LBO, ou Leverage Buy Out (Capital Transmission en Français) pour des sociétés qui ont atteint un certain niveau de maturité et qui ont stabilisé leur position sur leur marché. Le Private Equity en LBO est souvent là pour accompagner la transmission de l’entreprise à certains managers de l’entreprises, à des grands groupes ou à d’autres membres de la famille par exemple. Pour réalisé de telles opérations les repreneurs ont besoins de fonds qui leur sont apportés par ces fonds de LBO. Enfin tu as le capital redressement (Turn Around en Anglais) où là ce sont des fonds qui vont accompagner des équipes de management en rachetant des sociétés en position difficile pour les aider à retrouver leur jour de gloire mais là tu es sur des fonds très particuliers qui sont composés de Partners (associés) très opérationnels qui ont souvent travaillés eux-mêmes dans les industries sous-jacentes qu’ils accompagnent et où ils sont véritablement les co pilotes dans le side-car à côté du pilote pour l’aider à redresser la barre.

Qu’est-ce qui fait que ce marché est élitiste et qui sont les principaux acteurs ? Je crois qu’il y a à peu près 4000 fonds de Private Equity et c’est un marché très important mais très peu connu du grand public.

Frédéric Stolar : Alors j’ai oublié de préciser un point important, c’est un marché d’institutionnels aujourd’hui dans le monde. Et je rebondis sur ton point, tu as 4000 à 5000 fonds qui lèvent tous les ans sachant qu’un fond de Private Equity va lever une certaine somme d’argent, puis va la déployer sur 5 ans en appelant au fil de l’eau l’argent que les investisseurs se sont engagés à verser. Ensuite, les fonds de Private Equity peuvent être classés par quartile. C’est un peu comme les ligues dans le football. Le premier quartile c’est la Ligue 1, c’est les 25% des meilleurs fonds soit les 1000 meilleurs fonds mondiaux, le deuxième quartile c’est la Ligue 2, le troisième c’est la Ligue 3 et le 4e c’est la Ligue 4 etc. Puis après si je continue mon analogie avec le football, la Champions League c’est ce qu’on appelle le 1er décile, les 10% des meilleurs fonds. J’ai jamais vu un fond de la Ligue 4 qui devient un fond de la Ligue 1, ça n’existe pas.. Par contre les fonds de la Ligue 1 ou de la Champions League peuvent baisser de Ligue. Et le fait que tu aies été en Ligue 1 pendant 20 ans ne garantit pas du tout que tu resteras en Ligue 1 à l’avenir. C’est pour ça que le métier de sélection des fonds est un métier beaucoup plus fin qu’on ne le pense.

Alors qui sont les investisseurs du Private Equity aujourd’hui ? La réponse c’est qu’à 95% ce sont des institutionnels, c’est-à-dire des caisses de retraite, des compagnies d’assurance vie et des fonds de pension. Les grandes familles mondiales, les familles très fortunées mais qui sont pour moi des quasi institutionnels puisque ces familles là ont une équipe de 20 à 50 personnes qui les aident pour gérer leur argent, elles ont donc ces familles la même expertise qu’un institutionnel.

Est-ce que c’est le bon timing pour investir en Private Equity pour un particulier aujourd’hui en 2023 ou 2024 ?

Frédéric Stolar : alors je vais te donner et je pense que c’est toujours intéressant Jérémy de regarder ce que font les grands instits. Qu’est-ce que font les grands instits depuis 30 ans ? Qu’est-ce que font les grandes familles ? Elles investissent les mêmes montants tous les ans en Private Equity. Quand tu t’engages dans un fond de Private Equity, tu vas être appelé à verser les fonds sur cinq ans c’est à dire que 20% de ton capital va être appelé sur l’année 1 qui va être investi dans des boîtes qui seront payées aux multiples du marché de l’année en question, mais 20% de ton argent va être tiré l’année 2 qui vont être investis au prix du marché de l’année 2 etc donc quelque part tes 100 ils vont être par construction lissés sur 5 ans et tu auras en fait au moment où tu fais l’engagement une moyenne de tes engagements sur les cinq prochaines années donc tu peux pas timer le marché parce que par construction tu auras cinq points d’entrée différents. Maintenant sur tes sorties, et bien ce que tu as acheté en année 1 sera vendu en année 6 en moyenne donc 20% de ton capital sera vendu en année 6, 20% en année 7, en années 8 etc donc tu auras 20% de ton capital lissé sur cinq ans et la réalité c’est pas toi qui décide de la vitesse d’engagement c’est le fonds et c’est pas toi qui décide de la vitesse de sortie c’est le fonds. Donc la réalité, un fond de Private Equity c’est en soi une construction auto lissée sur 10 ans qui fait que ça n’a pas de sens de timer le marché parce que quand tu parles de market timing sur les marchés cotés c’est parce que toi tu penses que le CAC est très bas aujourd’hui tu veux rentrer. Mais si tu fais un engagement dans un fond de Private Equity aujourd’hui, de toute façon tu seras tiré sur cinq ans et tu sortiras sur cinq ans. Donc la notion de market timing à travers les fonds de Private Equity n’a pas vraiment de sens. C’est pour ça que les grands institutionnels de façon très disciplinée se construisent des portefeuilles et utilisent les distributions des portefeuilles passés pour financer les engagements futurs.
Après il est vrai que quand tu regardes ce qui s’est passé depuis très longtemps maintenant, certains experts te disent qu’il y a quand même eu des meilleurs millésimes que d’autres. C’est pas pour rien que ça s’appelle millésime et pour les amateurs de vins qui nous lisent aujourd’hui ben dans le vin il y a des grands crus et des moins bons crus par contre tu ne le sais jamais avant, tu le sais qu’après. Quand tu regardes par le passé qu’est-ce qui a fait que certains millésimes étaient meilleurs que d’autres, et bien alors je sais pas si c’est la seule explication en tout cas c’est très corrélé, c’est le fait d’avoir commencé à investir dans des moments difficiles du cycle. Donc pour les millésimes qui sont nés en 2001 (crise économique très dure) et les millésimes nés en 2008 (crise des subprimes) leurs performances sont incomparablement supérieures à des millésimes nés 3 ou 4 ans après. Donc selon ces mêmes experts, aujourd’hui et c’est le cas de tous les fonds chez qui nous rentrons avec le FPCI Altaroc 2023, il y a fort à parier que sur les trois ou quatre prochaines années on paiera moins cher les actifs que le prix qu’on en a payé sur les trois ou quatre dernières années.

Du coup pourquoi parmi toutes les sociétés de gestion du marché, les investisseurs auraient intérêt à le faire avec Altaroc, c’est quoi l’ADN d’Altaroc, comment vous vous positionnez c’est quoi qui vous différencie d’autres acteurs du marché ?

Frédéric Stolar : Notre constat c’est qu’il y a 5000 fonds de Private Equity dans le monde qui lèvent des fonds chaque année. Et c’est un marché de professionnels. Donc donc tu es un client privé, comment tu peux accéder à ce marché. Tu ne peux pas. En fait si, tu peux, mais malheureusement les seuls fonds chez qui tu peux investir aujourd’hui en tant que client privé ce sont les fonds qui veulent bien de toi. Et donc, ce sont les fonds qui n’arrivent pas à lever sur le marché institutionnel. Nous notre raison d’être chez Altaroc, c’est de rendre accessible au client privé ce qui au départ est inaccessible. On veut être admis dans le club des meilleurs fonds qui veulent surtout pas de nous. Et on on fait un portefeuille clé en main pour le client privé, qui avec 100 000 euros va investir dans un portefeuille de qualité supérieure à celui que les grandes familles se construisent avec 500 millions ou un milliard par an d’engagement. Et ça c’est possible grâce au parcours des deux associés d’Altaroc dont je fais partie. Mon associé Maurice Chaignot, sans être prétentieux, a créé l’industrie du Private Equity en Europe il y a 50 ans. Il est un des trois fondateurs mondiaux d’Apax il a 50 ans de track record très réussi dans l’industrie et moi j’ai cofondé le fond SAGAR qui est un gros fonds de Mid Market de LBO il y a 24 ans et je l’ai piloté pendant 19 ans et j’en ai fait un fond à succès. On a donc été patron de fonds nous même on connaît très bien l’industrie. On s’est fixé une ambition, créer chaque année un portefeuille de ce qui nous semble être à nous les six meilleurs fonds du monde qui lèvent cette année là. Un mix avec du LBO et du Growth, on ne fait pas Venture Capital ni du Capital redressement. On se concentre à 2/3 sur le LBO et à 1/3 un tiers sur du Growth.

Et dernier point important, Maurice Chaignot et moi on s’est engagé chaque année à investir à titre personnel 33 millions d’euros dans nos fonds; donc sur le Altaroc 2021, Altaroc 2022 et le Altaroc 2023, on aura investi à nous deux cent millions d’euros sur les 3 millésimes.

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Questions fréquentes

Questions Fréquentes

Quels sont les meilleurs placements pour investir en 2024 ?

Évidemment, vous vous doutez bien qu’il n’y a pas qu’une seule réponse à cette question. Il n’y a pas de “meilleurs placements en 2024” mais plutôt  “un ou plusieurs très bons placements en fonction de votre profil d’investisseur, de votre situation patrimoniale, de votre horizon et de vos objectifs d’investissement”. C’est pourquoi, c’est toujours très compliqué pour nous de répondre à cette question. Nous pouvons néanmoins vous donner quelques pistes de réflexions, à affiner avec un de nos experts : les SCPI et SCI de rendement, le Private Equity (financier ou immobilier), le Crowdfunding (startup, immobilier ou projets dans les énergies renouvelables), produits structurés ou encore les cryptomonnaies si vous êtes plus opportuniste.

Comment choisir et comparer les différentes SCPI ?

Quand on commence à faire des recherches sur comment investir en SCPI, on se rend vite compte qu’il y a beaucoup d’informations à digérer. Du coup, on arrive vite à se poser cette question : comment bien choisir et comparer les SCPI entres-elles ? Pas si simple quand on est non initié. Il faut tout d’abord s’intéresser aux gestionnaires et à leurs compétences. Ensuite comprendre où et comment les SCPI investissent dans l’immobilier et faire un rapprochement avec les tendances de marché (cycles immobiliers). Et enfin, analyser les indicateurs de performance : évolution du TOF, du dividende, des valeurs d’expertises, des réserves, des travaux etc.

Quelles sont les alternatives aux fonds en euro d’assurance-vie ?

L’assurance-vie reste un des placements préférés des français, et à juste titre puisque c’est l’enveloppe d’investissement la plus souple et la plus flexible sur le marché des placements. Depuis des décennies, ce produit de placement ne cesse d’évoluer pour offrir toujours plus d’alternatives aux fonds en euro dont les performances déçoivent depuis plusieurs années. Il existe des alternatives que l’on appellent communéments des unités de comptes : SCPI et SCI de rendement, produits structurés à capital protégé ou garantie, fonds obligataires datés, fonds de Private equity, opcvm, Trackers (ETF) etc…

A qui s’adressent les contrats d’assurance-vie de droit luxembourgeois ?

Le contrat d’assurance-vie de droit luxembourgeois offre à l’investisseur un cadre d’investissement privilégié : celui du Luxembourg. Le cadre juridique de ce pays offre une plus grande sécurité au capital en plaçant l’épargnant comme créancier prioritaire en cas de faillite  de la compagnie d’assurance et l’indemnisation de l’investisseur n’est pas plafonnée (contrairement à la France où le plafond est de 70 000 €). Ensuite, l’investisseur bénéficie de possibilités d’investissement plus large qu’en France et accède à des gestions financière de très haut de gamme.

Le Crowdfunding immobilier est-il le nouvel eldorado des investisseurs ?

C’est indéniable. Depuis plusieurs années le crowdfunding immobilier a pris une place très importante dans le panorama des placements attractifs en France. Avec plus de 9% de rendement annuel en moyenne, et une durée moyenne d’investissement inférieure à 2 ans, il présente de nombreux atouts. Pour autant, ce placement n’est pas dénué de risque, il faut être très sélectif sur les projets proposés sur les différentes plateformes du marché. Nos experts sont à vos côtés pour vous accompagner.

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