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Assurance-vie
Intégrer des SCPI en assurance-vie permet de renforcer la dimension immobilière de votre contrat tout en profitant d’une fiscalité optimisée. Cette solution attire de nombreux investisseurs en quête de diversification, de rendement stable, et de gestion simplifiée. Mais toutes les SCPI ne sont pas accessibles en assurance vie, et les conditions de souscription varient selon les contrats. Avant de vous lancer, il est essentiel de comprendre les mécanismes d’investissement, les limites, et les avantages concrets de ce placement.
Les SCPI logées en assurance vie prennent la forme d’unités de compte. Contrairement à un placement en direct, vous ne percevez pas directement les loyers. Les revenus générés par les parts SCPI sont réinvestis au sein du contrat, ce qui vous permet de profiter de la fiscalité de l’assurance vie. À long terme, ce fonctionnement peut s’avérer plus avantageux, notamment grâce aux abattements disponibles après huit ans, et au différé d’imposition des plus-values.
Investir dans une SCPI via assurance vie permet de bénéficier d’un placement immobilier sans contrainte de gestion. Vous déléguez l’ensemble des tâches opérationnelles à la société de gestion et à l’assureur. Ce couple gestionnaire-assureur sélectionne les SCPI accessibles dans le contrat : Corum Origin, Pierval Santé, Épargne Pierre ou encore les SCPI du contrat Linxea Spirit sont autant d’exemples courants. Selon les contrats, l’accès peut se faire avec des frais d’entrée réduits, voire nuls, et une part investissable qui peut représenter jusqu’à 50 % du contrat.
La fiscalité scpi assurance est l’un des principaux arguments de ce montage. Contrairement à une détention en direct, les revenus ne sont pas imposés chaque année. Ils s’accumulent dans le contrat et ne sont soumis aux prélèvements sociaux qu’en cas de rachat. À partir de la neuvième année, les gains bénéficient d’un abattement annuel, ce qui allège sensiblement la fiscalité sur les retraits. Cette approche patrimoniale séduit les épargnants souhaitant un placement vie structuré, lisible, et optimisé dans le temps.
Toutes les assurances vie ne proposent pas les mêmes SCPI, ni dans les mêmes proportions. Certains contrats comme Corum Life donnent accès exclusivement aux SCPI maison, tandis que d’autres, comme Linxea Spirit, offrent une sélection élargie en partenariat avec plusieurs sociétés de gestion. Dans tous les cas, il est essentiel d’examiner la liste des supports disponibles et les conditions associées à chaque contrat assurance vie.
Le délai de jouissance est également un élément clé. Comme pour une souscription en direct, vous devez patienter plusieurs mois avant de percevoir les premiers revenus liés à vos parts SCPI. Ce décalage doit être anticipé, notamment si vous comptez sur une génération rapide de flux. Par ailleurs, la liquidité dépend ici de la capacité de l’assureur à traiter les rachats, et non du marché secondaire traditionnel.
Enfin, n’oubliez pas d’analyser les frais : frais d’entrée, frais de gestion du contrat, frais sur arbitrage, et frais propres aux SCPI. L’ensemble impacte le rendement net de votre investissement scpi assurance. Une lecture attentive des documents d’informations clés est indispensable pour éviter les mauvaises surprises.
Placer des SCPI dans un contrat d’assurance vie, c’est chercher à combiner la stabilité de l’immobilier et la souplesse d’un cadre fiscal optimisé. Ce double avantage repose sur un principe simple : les parts de SCPI sont logées dans un contrat, ce qui transforme la nature de vos revenus. Au lieu d’être imposés comme des loyers classiques, ils sont capitalisés dans l’enveloppe assurance et bénéficient à ce titre du régime fiscal propre aux contrats vie.
Vous investissez donc dans un support immobilier à long terme, avec un potentiel de rendement régulier, sans subir immédiatement les prélèvements. Les revenus issus des parts SCPI ne déclenchent aucun impôt tant qu’aucun retrait n’est effectué. Ce fonctionnement vous donne un avantage clair sur la fiscalité, notamment si vous atteignez la durée de huit ans, seuil à partir duquel des abattements annuels s’appliquent sur vos contrats.
De plus, ce type de placement est piloté par l’assureur, qui centralise l’ensemble de la gestion. Vous n’avez pas à vous soucier de la revente de vos parts, ni du traitement des dividendes. Le ticket d’entrée reste accessible, et certaines SCPI permettent une exposition à l’immobilier d’entreprise, européen ou résidentiel. Vous combinez ainsi diversification géographique et mutualisation du risque.
C’est une stratégie adaptée si vous cherchez un rendement supérieur à celui des fonds euros, avec des revenus plus réguliers que les unités de compte classiques. Toutefois, comme pour tout support à capital non garanti, les performances varient selon la conjoncture et la qualité de la gestion des actifs. Un accompagnement est donc recommandé pour sélectionner les bonnes SCPI, évaluer les conditions de votre assureur, et structurer un vrai projet patrimonial dans la durée.
La souscription de SCPI dans un contrat d’assurance vie suit des règles bien spécifiques. Vous ne réalisez pas un investissement en direct mais au sein d’une enveloppe, ce qui modifie le fonctionnement habituel. Le capital investi dans la SCPI est exposé au marché immobilier, mais la liquidité dépend de votre assureur, et non de la SCPI elle-même. Ce fonctionnement permet de sécuriser l’accès aux revenus, mais impose de bien comprendre les conditions du contrat.
L’un des points essentiels à surveiller est le délai de jouissance. Comme en détention directe, chaque souscription de parts SCPI impose d’attendre plusieurs mois avant de percevoir des revenus. Ce délai peut être légèrement différent selon le contrat ou la politique de l’assureur, mais il est systématiquement présent. Il est donc indispensable d’en tenir compte dans votre stratégie d’investissement, surtout si vous visez une mise en place progressive de vos supports SCPI.
Autre élément clé : les conditions de souscription elles-mêmes. Certains contrats imposent un montant minimum, ou un pourcentage maximum d’investissement en SCPI. Vous ne pourrez pas, par exemple, allouer 100 % de votre contrat à ce support. Il faut également examiner les frais : entrée, gestion, arbitrage. Ces éléments peuvent peser sur le taux de rendement net.
Cela dit, les avantages sont bien réels. Vous profitez d’un investissement dans l’immobilier sans contrainte, au sein d’une assurance vie, avec des revenus différés fiscalement, une fiscalité optimisée et une exposition modulable selon votre profil de vie. Le choix des SCPI disponibles est parfois restreint, mais il couvre en général l’essentiel du marché, avec des fonds solides, bien notés, et historiquement performants.
Les taux de distribution passés varient selon les SCPI, mais certaines affichent régulièrement plus de 5 % brut, ce qui reste attractif par rapport aux fonds euros traditionnels. Ce choix s’adresse donc aux épargnants capables d’accepter une certaine immobilisation de leur capital, en contrepartie d’un investissement plus lisible et potentiellement plus performant que d’autres unités de compte.
Loger des parts SCPI dans une assurance vie permet de bénéficier de la stabilité de l’immobilier, de la mutualisation des risques, et d’une exposition régulière aux loyers, tout en restant dans une enveloppe fiscale souple. Ce placement reste toutefois soumis à la variation du marché immobilier, à la qualité de la gestion des actifs, et au niveau des frais appliqués. Il convient donc de bien étudier chaque contrat, chaque SCPI, et les objectifs que vous visez.
Dans un environnement de taux évolutif, où les fonds euros perdent en attractivité, les SCPI se positionnent comme une alternative solide pour générer des revenus dans un contrat. Mais ce type de placement s’adresse aux investisseurs acceptant une certaine illiquidité et un horizon de moyen à long terme.
Les SCPI éligibles aux contrats d’assurance vie constituent un outil efficace pour dynamiser un contrat tout en conservant une structure souple et fiscalement avantageuse. Mais le bon choix de supports, la compréhension des frais, et l’adéquation avec votre profil restent déterminants.
Chez Weelim, nous vous aidons à comparer les SCPI disponibles dans chaque contrat, à structurer votre allocation et à sécuriser votre stratégie. Contactez-nous dès aujourd’hui pour bénéficier d’un accompagnement sur mesure.
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Liste des supports SCPI en assurance-vie
Une assurance-vie est un placement où le souscripteur verse un capital et, s’il le souhaite, des primes régulières sous forme de versements libres ou programmés. Ce placement prend la forme d’un contrat établi auprès d’une compagnie d’assurance afin de couvrir un aléa, celui du décès de l’assuré qui est généralement le souscripteur (mais qui peut-être une tierce personne). Les sommes investies sont ensuite ventillées sur différents supports comme le fonds en euros ou des unités de compte (Opcvm, SCPI, SCI, OPCI, produits structurés, ETF, titres vifs, etc.). L’objectif est de faire fructifier le capital investi à moyen long terme.
Le placement en assurance-vie présente de nombreux avantages. Tout d’abord, il offre généralement un large choix de supports (fonds actions, fonds obligataires, produits structurés, fonds euros, trackers, fonds immobiliers, fonds de private equity etc.) permettant d’adapter sa stratégie d’investissement, en fonction de son profil d’investisseur et son appétence au risque. Ensuite, l’enveloppe assurance-vie offre des avantages fiscaux non négligeables en cas de décès du souscripteur assuré, ou en cas de retrait en cours de vie du contrat. C’est, pour toutes ces raisons, un des placements préférés des français.
Le fonctionnement de l’assurance-vie repose sur un contrat entre un souscripteur et une compagnie d’assurance. Lorsqu’un contrat d’assurance-vie est souscrit, le souscripteur verse un capital et, s’il le souhaite, des primes régulières sous forme de versements libres ou programmés. Une fois les sommes versées, le souscripteur a le choix entre différents modes de gestion : gestion libre, gestion pilotée, gestion sous mandat ou gestion conseillée par exemple. En gestion libre, il pourra choisir librement parmi un large choix de supports (opvvm produits structurés, fonds euros, trackers, SCPI, fonds de private equity etc.) permettant d’adapter sa stratégie d’investissement en fonction de ses convictions et de ses objectifs.
Dans une assurance-vie, les sommes investies sont, sauf rares exceptons, disponibles à tout moment et sans frais. Cependant, les conditions financières peuvent varier en fonction notamment de la typologie des supports dans lesquels vous êtes investis (certaines unités de compte peuvent prévoir des pénalités en cas de retrait anticipé). De plus, les conséquences fiscales peuvent être importante, en fonction de la date de retrait par rapport à la date d’ouverture du contrat. Une étude au cas par cas est obligatoire pour évaluer l’intérêt ou non d”effectuer un tel retrait.
En France, tous les gains générés au sein d’un contrat d’assurance-vie sont soumis à fiscalité : impôt sur le revenu et prélèvements sociaux. Néanmoins, il ne sont pas imposables, tant qu’ils ne sont pas retirés du contrat. Seul les prélèvements sociaux sont prélevés tous les ans sur les intérêts versés par le fond en euros. La fiscalité applicable en cas de retrait va être fonction de la date de versement des fonds, ainsi que de la date d’ouverture du contrat par rapport à la date du retrait. Par exemple, si le contrat a plus de 8 ans et que les primes ont été versées avant le 27 septembre 2017, alors les gains peuvent être exonérés d’impôt sur le revenu jusqu’à 4 600 € pour un célibataire . Au-delà de cet abattement, les gains sont soumis à un prélèvement forfaitaire libératoire (PFL) de 7,5% sur option ou à l’imposition au barème progressif de l’impôt sur le revenu.